Vive la Rose et le Lilas recense le Carnet Wilde
jeudi 31 octobre 2013
On comprend bien que si Oscar Wilde promeut de telles positions anarchistes, s’élevant contre toute forme d’autorité ; c’est aussi que cela lui permet de rappeler que l’art doit être libre, l’artiste ne travailler sous aucune contrainte, notamment celle de plaire au peuple, «qui n’aime pas la Beauté», car «le public a toujours, et dans tous les siècles été mal éduqué». Wilde, dans la lignée d’Hegel, est définitif : il est en faveur de «l’art pour l’art». »