
La Maîtresse d’Ixtepec
Elena Garro« Tout mythe, tout roman est à la fois mémoire de l’avenir et prédiction du passé. » Ainsi en est-il du premier roman d’Elena Garro publié au Mexique en 1963. Elle y inaugure un style : le réalisme magique.
Ixtepec est située dans la terre chaude au cœur du Mexique, dans un lieu qui est tout le monde et personne à la fois, puisque c’est la ville imaginaire dans laquelle Elena Garro situe les années post-révolutionnaires turbulentes d’un pays où l’injustice de la dépossession des terres, le racisme et la violence contre les femmes sont un problème quotidien. La Maîtresse d’Ixtepec est, selon Octavia Paz : « Une des œuvres les plus importantes de la littérature latino-américaine. »
Revue de Presse :
» Extraordinaire roman d’Elena Garro, femme d’Octavio Paz, La maîtresse d’Ixtepec, le livre pionnier du « réalisme magique ».
F. Joignot, in blog « Mauvais Esprit » (29/11/08)
« Ce roman d’une beauté hors du commun, écrit d’une encre fiévreuse et d’une plume inspiré, est celui de l’amour fou. (…) Ce roman est poésie pure. »
A. Bensoussan
La maîtresse d’Ixtepec, premier roman paru en 1963, fut le pionnier d’un style dont Gabriel Garcia Marquez allait s’inspirer pour Cent ans de solitude : le réalisme magique »
L. Vidal